De mari à esclave

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il y a 5 mois

Nous sommes arrivés sur le lieu ou Maîtresse trouvait qu’il était approprié. Elle s’assit sur le muret au-dessus de la digue, regarda par-dessus. L’espace sur le sable de la plage était libre. Elle descendit par l’escalier de côté y déployer la bâche afin d’y recevoir tout le monde.

Nous étions en été et la température était bien chaude en cette soirée de demi-lune. La contre-allée permettait aux voitures de passer au ralenti et ainsi de bien me voir. Puis elle remonta s’asseoir et me dit : « Enlève ton pardessus ».

La première chose que l’on voyait était le panneau entre mes seins et ma cage ou était inscrit : « MA MAITRESSE CHERCHE 10 VRAIS MALES POUR ME DEFONCER – 20 € - FILMÉ ».

« Tu n’as plus qu’à faire le trottoir, esclave » me dit-elle.

Comment j’en étais arrivé là ?

Nous nous sommes connus un été en vacances. Elle avait une superbe belle poitrine de bonne taille et un cul avec des formes juste ce qu’il faut. Elle était blonde avec de beaux yeux verts et un mignon petit nez en trompette. Enfin je la trouvais canon mais je ne voyais pas comment elle pourrait me voir. Nous nous sommes retrouvés un soir en boite de nuit et j’ai osé l’inviter à danser un slow. 9 mois plus tard, je la demandais en mariage et elle me répondit :

« A une condition, le jour de notre mariage tu m’appartiendras. En conséquence, tu porteras une cage de chasteté. Je ne veux pas que tu ailles voir ailleurs ».

J’acceptais cet état de soumission par amour. Même si nous avions fait des jeux de domination (bondage, sextoys, etc ...), le soir de notre mariage, elle m’attacha au lit, me mit un bâillon, m’enfonça un gros plug dans l’anus, puis elle s’approcha de mon oreille et me dis :

« Tu es à moi maintenant. Je vais faire de toi mon soumis. Je vais te montrer ce soir ce que j’attends de toi. »

Elle sortit d’un grand sac plusieurs objets. Le premier fut un anneau de pénis avec pointe qu’elle fixa sur ma queue et serra les pointes. Et elle commença à me sucer. Naturellement, je bandais immédiatement et commençais à avoir mal.

« C’est bon, hein » me dit-elle « J’ai consulté, tu te rappelles, le site de Fessetivites. Et j’y ai trouvé plein d’idées que je vais pouvoir mettre en œuvre maintenant que nous sommes mariés. Comme je sais que c’est ce que tu as envie, je vais faire de toi mon soumis. »

Etant soumis dans l’âme et ayant une aussi belle femme que je ne pensais pas avoir, je me suis laissé faire. Ce soir-là, après l’anneau, elle me fit sucer sa chatte. Elle jouit en m’envoyant ses jets de cyprine plein le visage. Puis elle retourna dans son sac et en sortit un gros gode ceinture. A l’époque, il me paraissait gros. J’appris plus tard qu’il était plutôt petit. Elle me défonça littéralement le cul à sec ou presque, juste en crachant dessus. J’avais trouvé cela douloureux mais bon après coup. Enfin, elle m’installa une cage en métal avec un plug urètre « pour mon plaisir » me dit-elle.

Depuis ce jour, elle m’apprit à m’occuper de la maison (ménage, repassage, course, …). Je faisais ce qu’elle désirait pour lui être agréable. Elle me remerciait avec des parties de jambes en l’air parfois hard mais tellement jouissives. En effet, le martinet, la cravache devinrent une habitude pour me punir de ce que j’avais mal fait. Mais elle se rattrapait après en me laissant lécher sa chatte et pincer ses seins puis en me défonçant le cul avec des godes ceintures de plus en plus gros. Jusqu’au jour où j’ai perdu mon job. Ce n’était pas trop grave car elle gagnait beaucoup mieux sa vie que moi. J’ai passé plusieurs mois à essayer de trouver un job mais sans succès.

Un vendredi soir début du week-end, elle me demanda où j’en étais. Penaud, je lui ai répondu que rien n’avait marché. Elle me donna une grande baffe me traita d’incapable et dit « Puisque c’est ainsi, tu vas devenir ma soubrette docile et faire tout ce que je te demande sinon tu seras puni. Il faut bien que tu sois utile. Et pour commencer, demain, on va s’occuper de ta tenue et de ta condition. »

Le lendemain, elle est partie faire des courses. Je devais l’attendre à la maison. Lorsqu’elle est rentrée, elle saisit la cravache et m’en donna un grand coup sur les fesses et dit « A poil. Exécution ». J’obtempérais.

« Retourne-toi, mains dans le dos » me dit-elle. Et sans que je n’ai eu le temps de réagir, elle m’avait mis des menottes.

« Pourquoi ? » lui demandais-je.

Je me pris un nouveau coup de cravache.

« Pour que tu ne fasses pas d’histoire » dit-elle « Je vais te mettre une tenue digne de ta condition et ainsi tu pourras me traiter comme ta maitresse. A partir de maintenant, tu m’appelleras Maitresse. »

Puis elle étala tous les achats sur la table du salon et dit :

« On va commencer par mettre ce corset et je vais le serrer dans ton dos ». Elle serra fort. C’était un corset noir et blanc style soubrette seins à l’air et porte-jarretelles. Ainsi bien serré, ça me faisait une taille mince et faisait ressortir comme une petite poitrine.

« Mais je ne peux pas mettre ça » dis-je.

« Tu n’as plus ton mot à dire » dit-elle « C’est moi qui t’entretiens maintenant. Donc tu es mon larbin et tu fais ce que je demande. Ou plutôt ma soubrette qui va s’occuper de moi et de la maison comme je l’entends. Compris ? »

« Oui » répondis-je tout penaud.

Je ne pouvais rien faire d’autres.

Elle m’envoya une grosse gifle et dit : « A partir de maintenant, je t’ai dit que ce sera, oui Maîtresse, bien Maîtresse et tu me vouvoieras ».

« Mais » dis-je et je reçu deux baffes supplémentaires.

« Il n’y a pas de mais qui tienne. Comme c’est moi qui porte le pantalon ici, tu es ma soubrette aux ordres et tu exécutes »

Je baissais les yeux et dit un timide « Oui ». Elle saisit la cravache me frappa deux fois les fesses et dit : « Oui comment ? » Je répondis « Oui Maîtresse » Ensuite elle se saisit de pinces à seins reliées par une chaînette qu’elle me fixa en les serrant bien. Je poussais un petit cri. Elle saisit alors d’un bâillon-os pour dit-elle que je me taise. Elle me mit un collier ou était écrit « SLAVE », attrapait une laisse qu’elle relia avec une autre chaînette aux pinces à seins. Ainsi lorsqu’elle tirait sur la laisse, elle tirait aussi sur les tétons. Puis elle mit des poids sur les pinces pour habituer mes tétons dit-elle. Je lui dis : « Non pas ça »

Ça faisait mal mais c’était soutenable. Re cravache. « Non pas ça Maîtresse » ajoutais-je. Elle ne m’écouta même pas. Elle me fit allonger sur le canapé puis elle commença à m’enfiler des bas noirs qu’elle fixa aux jarretelles. Je me mis à pleurer.

« C’est ta tenue de travail, celle que tu mérites en tant que soubrette » Ensuite elle me mit des escarpins à talons haut. Comment j’allais pouvoir marcher avec ça. Puis elle dit « Au fait, je t’ai acheté une nouvelle cage car à partir de maintenant tu n’as plus le droit de bander sans mon autorisation et comme je n’ai pas confiance en toi en voici une spéciale ». En effet, c’était une cage avec trois anneaux :

  • Un de 4,5 cm pour l’embase,
  • Un de 3,2 cm pour le début de ma bite,
  • Et le dernier de 2,8 cm à la base du prépuce.

Enfin elle se terminait par un plug urètre. Ce que je ne vis pas tout de suite, c’est que chaque anneau était muni de pointe qu’elle resserra sur ma bite. Enfin pour finir, elle me fit mettre à quatre pattes, me demanda d’écarter mes fesses et après l’avoir bien lubrifié, elle m’enfonça un plug consistant dans le cul.

« Debout » dit-elle « et tourne sur toi même que je t’admire. »

« C’est bien, mais je peux encore t’améliorer »

Dans les jours qui suivirent, elle m’acheta une perruque brune et elle me maquilla.

« Tu as l’air d’une soubrette très pute » me dit-elle « C’est parfait ».

Le vendredi suivant, elle rentra à la maison mais elle n’était pas seule. Elle était avec sa meilleure amie. Je me cachais dans la cuisine. Elle finit par m’appeler. Je n’osais pas venir. « Bon tu viens, oui » dit-elle un brun énervé. Je m’avançais tout penaud. Sa meilleure amie se mit à sourire et dit : « Voilà donc ta soubrette dont tu m’as tant parlé. J’avoue que c’est étonnant. Sa tenue surtout, on dirait hum ».

« Une vrai pute » dit Maîtresse.

« Oui c’est exactement cela » dit son amie.

« C’est ce que je voulais. Je trouve cela plutôt excitant ».

« Tu as raison moi aussi ça m’excite. Et elle fait tout ce que tu veux ?»

« Oui » dit-elle « tu veux un exemple ?»

Elle fit signe que oui et Maîtresse ajouta : « Viens ici petite salope et suce-nous les orteils ». Je m’exécutais. Je devais être tout rouge de honte.

« Mais dit donc » dit son amie « Elle suce comme si c’était une bite. Et elle fait plutôt ça bien »

« Tu vois, je t’avais dit que c’était idéal pour une femme d’avoir une salope pareille pour son plaisir et l’entretien de la maison. Lorsque je rentre du travail, épuisée, je n’ai rien à faire. Et elle fait le service. »

Puis maîtresse attrapa la laisse tira dessus. Je poussais un cri au passage me pris un coup de cravache et dit « Silence petite pute, viens ici ». Elle remonta sa jupe, écarta ses cuisses et décala sa culotte en ajoutant : « lèche ». J’aimais la lécher. Elle avait bon gout et j’aimais lui donner du plaisir. Après quelques minutes, elle tira la laisse vers son amie et dit « A son tour, fais-lui du bien autant qu’à moi » Je résistais. Aussi elle me donna un coup de cravache. Du coup, je me mis à lécher ses lèvres et son clito. Elle se mit aussi à gémir en disant « Mon dieu, elle est trop bonne cette petite salope ».

« Tu vois je te l’avais bien dit » répondis Maîtresse.

Elles finirent par m’envoyer toutes les deux leur cyprine en plein visage et dans la bouche avec l’ordre d’avaler. Le lendemain, elle était partie toute la journée et revint en fin de journée avec un grand brun assez musclé.

« J’ai rencontré un vrai mal bien musclé » me dit-elle « il va passer la nuit ici. Et tu vas nous servir. »

Après quelques secondes, elle ajouta « Je n’ai rien entendu » en frappant mes fesses d’un coup de cravache. Je répondis « Oui Maitresse ».

« Viens me lécher les pieds pour me détendre » alors que ce connard commençait à la peloter d’abord les seins puis la chatte.

Maîtresse me frappa à nouveau en disant : « je veux que tu nous regardes. Vois ce qu’est capable un vrai male. Pas une lopette comme toi ».

Lorsqu’elle fut bien excitée et déjà presque nu, elle sortit la queue d’une belle taille de son pantalon et commença à le sucer. Je m’arrêtais subjugué. Je ne pouvais détourner mon regard de cette pipe. « Regarde cette belle queue qui va me prendre » dit-elle

Elle finit par l’allonger sur le canapé et s’empala sur sa queue. Après plusieurs minutes, elle se retira, se retourna et se la mit dans le cul ce qu’elle m’avait toujours refusé. Quand elle eut joui, elle continua pour le faire jouir et quand il annonça qu’il allait jouir, elle sortit sa bite de son cul, m’attrapa par les cheveux et fit entrer sa queue dans ma bouche.

« Continue de sucer » dit-elle « Fais le jouir ».

Ça ne dura que quelques secondes. Il éjacula un premier jet dans ma bouche puis les suivant sur mon visage. J’en avais partout. Elle me remit sa queue dans la bouche pour que je la nettoie puis elle ramassa le sperme sur mon visage avec son doigt et me mis le tout dans la bouche. Elle avait tout fait pour m’humilier. Mais ce qu’elle ne savait pas c’est que j’avais assez apprécié. Je me demandais quel effet ça faisait une vraie bite dans le cul. Je dormis attaché, bâillonné et pluggé à leur lit.

Le lendemain matin au réveil, je dus les nettoyer tous les deux avant de leur servir le petit déjeuner après avoir pris une bonne douche « pour ne pas les salir » dirent-ils. Après le petit déjeuner, ils recommencèrent à se caresser et à s’emballer lorsque ma femme lui susurra des mots à l’oreille. Il eut un grand sourire et dit « Oh oui, pourquoi pas ». Maîtresse dit alors « Viens ici sur le lit à quatre patte et lèche moi la chatte et l’anus. Exécution ».

Je montais donc sur le lit. Le connard sortit du lit pendant que je me mettais en position. J’avoue ne pas avoir fait attention à lui. Je m’appliquais donc à lécher Maîtresse lorsque le connard m’attrapa par les hanches et enfila son pieu sauvagement dans mon petit trou. Je poussai un cri inutile. Il me chevaucha sauvagement en crachant de temps en temps sur sa bite.

« Oui, vas-y mon chéri » dit-elle « Défonce cette ptite pute de soubrette ».

Il éjacula dans mon cul ce qui fit du bien après la sauvagerie dont il fit preuve. Elle eut plusieurs amants comme celui-là. Apparemment elle aimait se faire défoncer et après me donner en esclave à ses amants. Puis un jour, elle rentra en milieu d’après-midi. Elle était furieuse. Elle traitait des personnes que je ne connaissais pas de salop, d’enculé, .... Elle me menotta, attrapa une chaine, l’accrocha au plafond et accrocha les menottes à la chaîne. J’étais debout les bras bien tendus.

Elle alla chercher une bouteille de champagne et commença à boire au goulot. Elle attrapa la cravache et frappa fort mes fesses, mes cuisses et mon dos. Je me prie une raclée comme jamais. Plus elle buvait, plus elle frappait fort. A la fin de la deuxième bouteille, elle me décrocha et partit se coucher en accrochant les menottes à un radiateur et me laissant en plan comme ça allongé par terre. Le lendemain matin, elle se leva avec un mal de crane, m’enleva les menottes et m’envoya préparer son petit déjeuner.

Elle m’expliqua : « Ce fumier de Gérard m’a licenciée. Il a attendu de me défoncer pour me virer ensuite. C’est pour cela que c’est toi qui as payé hier soir. » Elle prit tranquillement son petit déjeuner puis m’attrapa par le bas du visage me regarda dans les yeux et dit : « J’ai réfléchi. Maintenant il va falloir que tu ramènes le pain quotidien à la maison pour que nous puissions vivre décemment tous les deux. Alors je vais te louer. Je vais trouver des clients et tu les satisferas en tous points ; Il faut bien vivre hein mon chéri ».

Voilà comment je me suis retrouvé son esclave.

Donc aujourd’hui, nous étions partis en vacances dans un endroit « chaud » de la Cote d’Azur afin de louer mes services pour payer les vacances. Je faisais donc des allers-retours sur le trottoir. Elle ne mit pas longtemps à trouver une dizaine de pervers pour m’enculer. Lorsqu’elle eut suffisamment de candidats, elle me descendit sur la plage me mit à genoux sur la bâche et dit : « Il est à vous messieurs, faites-en ce que vous voulez. Tout est permis. »

Elle se recula, sortit la caméra et commença à filmer pendant qu’ils ouvraient tous leurs pantalons et sortaient leurs queues plus ou moins grosses. Il y en avait un qui en avait une grosse et assez longue. Elles passèrent toutes dans ma bouche. Certains ne restèrent pas longtemps car ils éjaculèrent très vite dans ma bouche ou sur mon visage. Puis à tour de rôle, ils visitèrent mon cul naturellement v i o l e m e n t. Il y en a un qui demanda à Maîtresse d’enlever ma cage car il voulait me sucer. Puis il se mit en position en levrette et me demanda de l’enculer pendant qu’un autre entrait dans mon cul.

Un deuxième se mit derrière moi et m’enfonça aussi sa bite sauvagement. J’en avais 2 dans le cul pendant qu’un autre vint me mettre sa queue dans la bouche. Ils se relayèrent tous dans ma bouche et mon cul et éjaculèrent dans tous mes trous. J’en avais partout. J’avais le cul complètement explosé. Maîtresse me demanda de tout ramasser avec mon doigt et d’avaler puis de nettoyer les bites qui étaient restées. Lorsque ce fut terminé, j’ai plié les gaules et nous sommes revenus à l’hôtel.

Pendant le trajet, Maîtresse me dit « Je suis fier de toi. Tu es une bonne petite pute qui rapporte bien. Demain je t’ai loué à un club gay, tu seras à leur disposition et tu feras tous ce qu’ils souhaitent. Et après-demain, je t’ai loué à un club Bi. Même chose. J’imagine que tu te feras bien défoncer mais ce n’est pas grave, ça payera les vacances ».

Effectivement, j’ai été défoncé par tous les trous et fouettés sans ménagement. J’en avais les traces. Le surlendemain, elle me dit qu’elle me laissait au repos et qu’on verrait plus tard. Elle m’attacha au lit avec un bâillon et sa culotte au fond de la bouche, un gros plug dans le cul, la cage à pointe, le collier « Slave » et les pinces à tétons.

« Je vais m’éclater ce soir » dit-elle « J’ai aussi droit à un peu de plaisir tout de même. Il n’y pas que toi qui a le droit de t’éclater » ajoute-t-elle en riant.

Je finis par m’endormir sur le sol lorsque je fus réveillé. On frappait à la porte. Je ne pouvais ni répondre ni ouvrir. Alors on frappa plus fort. Au bout d’un moment, et pas mal de bruit, une clé fut introduite dans la serrure et la porte s’ouvrit. Deux hommes en blouson de cuir et brassard ou était écrit « POLICE » entrèrent dans la chambre. Lorsqu’ils me virent, je vis leur regard estomaqué. Ils s’approchèrent et virent les traces de fouets et autres sur mon corps.

« Mon dieu » dit l’un d’eux.

Ils m’enlevèrent le bâillon puis l’un d’eux pris sa radio et dit « apporte son collier avec les clefs qui sont dessus ». Ils m’enlevèrent les menottes et m’emmenèrent dans la salle de bain et me laissèrent seul. J’enlevai le plug, les pinces à seins, le collier, pris une douche, enfilait un peignoir et revins dans la chambre. Ils m’attendaient.

« Comment ça va ? » dit l’un d’eux

« Ça va » répondis-je.

« Il faut qu’on vous parle. Nous avons retrouvé une femme nue assassinée dans sa voiture. C’est comme cela que nous sommes arrivés ici. Elle n’avait pas de papier mais il y avait la carte de l’hôtel dans sa voiture. Vous la reconnaissez ? » Dit l’un d’eux en me montrant une photo.

« Oui » répondis-je « C’est ma femme ». Elle était nue et il y avait écrit « SALOPE » sur son buste au rouge à lèvres.

Ils se regardèrent ébahis. Me posèrent encore quelques questions.

« Nous allons vous laisser. Il faudra que vous passiez au commissariat cet après-midi pour faire une déposition et voir un psy »

« Ok » répondis-je.

« Nous laissons quelqu’un à l’entrée pour vous protéger. A tout à l’heure. Merci ».

Je me retrouvais seul dans la chambre. Je repris une douche et revint dans la chambre. Comment allais-je m’habiller ? J’ouvris le placard. Je remis ma cage sans les pointes (j’aime bander dans ma cage. Ça fait mal mais c’est trop bon) et un string. Je mis des affaires élégantes de ma femme : un corset, un chemisier avec un beau décolleté, une jupe noir moulante pas trop courte et des escarpins à talons. Je me maquillais mais cette fois correctement pour ne pas avoir l’air d’une pute et remis une perruque. Je me suis regardé dans le miroir et me trouvais assez joli. Je pris un sac élégant de ma femme ou s’y trouvait un plug moyen et y ajouta le nécessaire puis je sortis pour aller déjeuner puis allez au commissariat.

Il y avait 2 ou 3 kilomètres à faire à pied. Je ne pris pas de taxi car je voulais prendre l’air. Plusieurs hommes se sont retournés sur mon passage. Ça m’a fait plaisir. J’avais l’impression d’avoir un courant d’air dans le cul tellement il était ouvert. Aussi, je choisis d’entrer dans une toilette publique, j’ouvris mon sac, en sortis le plug et me l’enfilai.

Je repris mon chemin en direction d’un restaurant. Je me sentais bien. Quelques larmes perlaient sur mon visage. Une nouvelle vie commençait.

FIN

Merci j'ai beacoup apprécié cette histoire.
Une fin originale pour cette histoire très sympathique.
De l'humiliation pure et dure !
Merci pour ce récit fort sympathique
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